Canon A-1
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Technologie | Film 24 * 36 |
Monture | Canon FD |
Vitesses | 30s-1/1000s |
Luxmètre | Numérique |
Poids | 620g nu |
Avis | Excellent |
Prix | 50 - 150€ |
Canon A-1 et Volna 9 MC 50mm 2.8
C'est avec deux des ces boitiers que nous avons remis un pied dans le monde de la photographie argentique. Dénichés un matin au marché aux puces de Lyon, sans préméditation ni connaissance particulière de ce type de matériel, ils sont néamoins toujours nos principaux boitiers 24*36 et quittent rarement nos saccoches.
Produit entre 1978 et 1985, le canon A-1 est le premier réflex au monde à embarquer un ordinateur et donc un luxmètre numérique et non analogique, ce qui permet la présence de modes semi-automatiques tels que la priorité vitesse ou la priorité ouverture. Avec certains objectifs compatibles (canon FD), un mode intégralement automatique est même disponible.
Une caractéristique non négligeable est la possiblité de viser à diaphragme ouvert, ce qui s'avère particulièrement efficace pour la mesure de la lumière et la mise au point lors de l'utilisation d'ouvertures inférieures à f/10.
Léger et robuste (620g), ses composants électroniques modernes en font un réflex haut de gamme idéal pour le béotien venant du tout numérique, et voulant s'initier en douceur au monde du film, sans pour autant passer d'un extrème à l'autre et utiliser une cellule pour mesurer la lumière.
Il est possible d'adjoindre au canon A-1 deux moteurs, le moteur A et le moteur MA qui permettent pour le premier un réarmement automatique et pour le second, une prise de vue en continu à 2.5 images / seconde. Bien que décoiffante pour l'époque, cette vitesse ne semble pas justifier le surpoids de 12 piles AA (LR6) nécessaires à son fonctionnement. Cependant, si beaucoup de cas ne nécessitent pas la prise de vue en continu, il peut-être intéressant d'utiliser le MA pour son déclencheur vertical, en tant que poignée grip, telle qu'on en connait sur les SLR récents.
Si biensur il est prévu pour accueillir des objectifs à baïonette FD, il est compatible avec la génération précédente (FL) mais également avec les objectifs m42 à l'aide d'une bague d'adaptation. C'est grâce à cette astuce que l'A-1 a pris pour nous toute sa dimension, d'une part grâce à la richesse du parc optique en 42mm à vis, mais également grâce à la nécessité ainsi contournée de posséder chaque focale dans toutes les montures.
Au prix de quelques automatismes, tels que la gestion de l'ouverture par le boitier ou encore de la visée à pleine ouverture, on peut donc utiliser ses cailloux m42 préférés sur le canon A-1 !
Avant le passage au Zenit ou au Semflex 6x6, le canon A-1 semble bien être le boitier idéal pour s'initier ou pratiquer régulièrement la photographie argentique à l'ère du numérique !
C'est avec deux des ces boitiers que nous avons remis un pied dans le monde de la photographie argentique. Dénichés un matin au marché aux puces de Lyon, sans préméditation ni connaissance particulière de ce type de matériel, ils sont néamoins toujours nos principaux boitiers 24*36 et quittent rarement nos saccoches.
Produit entre 1978 et 1985, le canon A-1 est le premier réflex au monde à embarquer un ordinateur et donc un luxmètre numérique et non analogique, ce qui permet la présence de modes semi-automatiques tels que la priorité vitesse ou la priorité ouverture. Avec certains objectifs compatibles (canon FD), un mode intégralement automatique est même disponible.
Une caractéristique non négligeable est la possiblité de viser à diaphragme ouvert, ce qui s'avère particulièrement efficace pour la mesure de la lumière et la mise au point lors de l'utilisation d'ouvertures inférieures à f/10.
Léger et robuste (620g), ses composants électroniques modernes en font un réflex haut de gamme idéal pour le béotien venant du tout numérique, et voulant s'initier en douceur au monde du film, sans pour autant passer d'un extrème à l'autre et utiliser une cellule pour mesurer la lumière.
Il est possible d'adjoindre au canon A-1 deux moteurs, le moteur A et le moteur MA qui permettent pour le premier un réarmement automatique et pour le second, une prise de vue en continu à 2.5 images / seconde. Bien que décoiffante pour l'époque, cette vitesse ne semble pas justifier le surpoids de 12 piles AA (LR6) nécessaires à son fonctionnement. Cependant, si beaucoup de cas ne nécessitent pas la prise de vue en continu, il peut-être intéressant d'utiliser le MA pour son déclencheur vertical, en tant que poignée grip, telle qu'on en connait sur les SLR récents.
Si biensur il est prévu pour accueillir des objectifs à baïonette FD, il est compatible avec la génération précédente (FL) mais également avec les objectifs m42 à l'aide d'une bague d'adaptation. C'est grâce à cette astuce que l'A-1 a pris pour nous toute sa dimension, d'une part grâce à la richesse du parc optique en 42mm à vis, mais également grâce à la nécessité ainsi contournée de posséder chaque focale dans toutes les montures.
Au prix de quelques automatismes, tels que la gestion de l'ouverture par le boitier ou encore de la visée à pleine ouverture, on peut donc utiliser ses cailloux m42 préférés sur le canon A-1 !
Avant le passage au Zenit ou au Semflex 6x6, le canon A-1 semble bien être le boitier idéal pour s'initier ou pratiquer régulièrement la photographie argentique à l'ère du numérique !
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